Le combat contre le sorcier est rude. Outre le colosse qui lui sert de garde du corps, il est accompagné de spectres et d’un byakhee qui se manifestent pour le défendre. Forts du renfort de leurs alliés, les aventuriers sont néanmoins victorieux, et ce sans perte. Les affaires du sorcier leur permettent de comprendre qu’il cherche un temple de Janus, comme il en existe à Roma ou à Autun : un sortilège permet de voyager d’un temple à l’autre. Le plan de son maître le duc d’Arvernia devient clair, utiliser ce portail pour prendre Autun !
Les aventuriers ne s’arrêtent pas à ce succès. Ils trouvent le temple de Janus du Velay, un édifice troglodyte accessible au sommet de l’Aiguilhe, un pic près du Puy-Sainte-Marie, découvrent un temple impie où ils préfèrent fuir quand des peintures de monstruosités prennent vie et délivrent les moines de l’ermitage du mont Corneille – que tout le monde croyait partis pour l’Hibernie alors qu’ils étaient prisonniers des Polignac. Les moines révèlent que les chefs de cette famille rendent un culte secret à Appolon et parlent à ce « dieu » grâce à une idole abritée dans les souterrains de leur château.
Si les aventuriers sont satisfaits d’avoir défait le sorcier, ils ont la conviction que celui-ci n’est pas responsable des morts de l’ancien comte et de l’évêque. Évidemment, les Polignac font office de coupables de choix. Mais pourquoi ?
Merci pour ces éléments (tant l’aspect création que l’aspect rendu avec les joueurs). C’est très inspirant & donne envie.
Bonne semaine 🙂